Centre de Biologie Médicale
Biologie Médicale Polyvalente - Procréation Médicalement Assistée
Hôpital Privé Parly2 - 21 rue Moxouris - 78150 Le Chesnay - 01 39 54 44 51
Vous allez être prochainement pris en charge dans notre centre d’assistance médicale à la procréation pour un transfert d’embryons congelés. Nous vous demandons de bien vouloir réaliser les démarches suivantes IMPERATIVEMENT AVANT TOUT DEMARRAGE DE STIMULATION. Pour cela, nous vous demandons de bien vouloir prendre connaissance du document ci-dessous, de le remplir et de le signer. Un PDF sera automatiquement généré et envoyé au centre à la fin de votre saisie.
L'ENSEMBLE DE CES DOCUMENTS ONT UNE VALIDITE DE 2 MOIS.
RAPPEL DE LA REGLEMENTATION : La limite d'âge fixée par la réglementation est de 45 ans chez la femme qui a vocation à porter l'enfant et de 60 ans pour l'homme qui effectue un recueil de sperme en vue de l'AMP.
ATTENTION : Nous avons bien conscience que votre parcours en AMP est long et fastidieux, cependant, il est soumis à la réglementation en vigueur. Aucune tentative d’AMP ne sera possible en l’absence d’un dossier complet. En cas de difficultés, vous pouvez nous joindre au 01 39 54 44 51 (puis taper 2) de 7h à 16h du lundi au vendredi et le samedi de 7h à 13h.
Je fais la démarche de demande d'assistance médicale à la procréation : *
Demandons spontanément et d'un commun accord une Assistance Médicale à la Procréation pour notre couple :
Demande spontanément une Assistance Médicale à la Procréation :
Après avoir exposé notre projet parental et notre difficulté à concevoir, demandons à bénéficier d’une Assistance Médicale à la Procréation (AMP) nécessaire à la réalisation de notre projet parental dans le cadre de notre couple, et sommes informés(ées) qu’un consentement devra être signé avant chaque début de tentative.
Certifions sur l’honneur que les conditions de couple requises sur le plan légal pour bénéficier d’une AMP sont remplies.
Reconnaissons avoir été informés(ées) que les faits suivants font obstacle à la FIV/ICSI ou au transfert des embryons :
- Le décès d'un des membres du couple ;
- L'introduction d'une demande en divorce ;
- L'introduction d'une demande en séparation de corps ;
- La signature d'une convention de divorce ou de séparation de corps par consentement mutuel selon les modalités prévues à l'article 229-1 du code civil ;
- La cessation de la communauté de vie ;
- La révocation par écrit du consentement par l'un ou l'autre des membres du couple auprès du médecin chargé de mettre en œuvre l'assistance médicale à la procréation
Reconnaissons avoir reçu de la part du médecin et de l’équipe biologique une information claire, précise et adaptée sur la cause de notre infertilité ainsi que sur le choix des techniques envisagées.
Reconnaissons avoir été informés(ées) des taux de réussite des techniques en termes de taux de naissance en fonction de l’âge, de leur pénibilité, ainsi que des contraintes notamment d’ordre organisationnel, financier, physique et/ou psychologique qu’elles peuvent entraîner.
Reconnaissons avoir été informés(ées) des risques potentiels à court, moyen et long terme liés à la stimulation ovarienne, au geste chirurgical et aux techniques biologiques utilisées ainsi que des risques de grossesses multiples et de complications obstétricales.
Reconnaissons avoir été informés(ées) de l’état actuel des connaissances concernant l’état de santé des enfants nés après AMP et des conséquences potentielles sur leur descendance.
Reconnaissons avoir été informés(ées) des probabilités de conception naturelle dans l’attente d’une AMP et avoir reçu une information sur les solutions alternatives (AMP avec tiers donneur, accueil d’embryons et adoption).
Reconnaissons avoir été informés(ées) que la prise en charge en AMP pourrait être interrompue à tout moment pour des raisons médicales, biologiques ou réglementaires.
Reconnaissons avoir été informés(ées) des dispositions de la loi encadrant l’accès à l’AMP et des modalités de prise en charge par l’assurance maladie en incluant notamment la limite liée à l’âge s’appliquant également à la réutilisation des gamètes et embryons cryoconservés.
Reconnaissons avoir été informés(ées) de l'indisponibilité de réaliser un transfert d'embryons conservés en cas de rupture du couple ainsi que des dispositions applicables en cas de décès d'un des membres du couple.
Reconnaissons avoir été informés(ées) de l’existence et du fonctionnement du dispositif d’AMP vigilance.
Reconnaissons avoir été informés(ées) de l’existence d’associations d’usagers spécialisés dans le domaine de l’AMP susceptibles de nous accompagner dans notre démarche.
Reconnaissons avoir compris l’ensemble des informations reçues, avoir pu poser les questions que nous souhaitions et attestons avoir obtenu les réponses à celles-ci.
Reconnaissons qu'une réunion d'information mensuelle nous a été proposée pour recevoir la majorité des informations.
Attestons avoir reçu un dossier guide (Site ifmp2 : https://www.ifmp2.com/pma/) et que ce dossier comporte :
- Le rappel des dispositions législatives et réglementaires relatives à l'assistance médicale à la procréation
- Un descriptif de ces techniques
- Le rappel des dispositions législatives et réglementaires relatives à l'adoption ainsi que l'adresse des associations et organismes susceptibles de compléter leur information sur ce sujet
- Des éléments d'information sur l'accès aux données non identifiantes et à l'identité du tiers donneur par la personne majeure issue du don ainsi que la liste des associations et organismes susceptibles de compléter leur information sur ce sujet. Les membres du couple sont incités à anticiper et à créer les conditions qui leur permettront d'informer l'enfant, avant sa majorité, de ce qu'il est issu d'un don
Reconnaissons être informés(ées) que nos données personnelles et médicales sont enregistrées de manière informatique au sein du centre d’AMP pour le suivi de notre prise en charge et la réalisation d’études épidémiologiques.
Nous engageons à informer l’équipe pluri-disciplinaire de toute modification concernant notre situation familiale et notre lieu de résidence survenant au cours de notre prise en charge.
Confirmons notre demande après un délai de réflexion d’un mois minimum, et certifions que les conditions de couple requises pour bénéficier d’un acte d’AMP sont toujours remplies.
Après avoir exposé mon projet parental, je demande à bénéficier d’une Assistance Médicale à la Procréation (AMP) nécessaire à la réalisation de mon projet parental, et je suis informée qu’un consentement devra être signé avant chaque début de tentative.
Certifie sur l’honneur que les conditions requises sur le plan légal pour bénéficier d’une AMP sont remplies.
Reconnais avoir reçu de la part du médecin et de l’équipe biologique une information claire, précise et adaptée sur la cause de mon infertilité ainsi que sur le choix des techniques envisagées.
Reconnais avoir été informée des taux de réussite des techniques en termes de taux de naissance en fonction de l’âge, de leur pénibilité, ainsi que des contraintes notamment d’ordre organisationnel, financier, physique et/ou psychologique qu’elles peuvent entraîner.
Reconnais avoir été informée des risques potentiels à court, moyen et long terme liés à la stimulation ovarienne, au geste chirurgical et aux techniques biologiques utilisées ainsi que des risques de grossesses multiples et de complications obstétricales.
Reconnais avoir été informée de l’état actuel des connaissances concernant l’état de santé des enfants nés après AMP et des conséquences potentielles sur leur descendance.
Reconnais avoir été informée des probabilités de conception naturelle dans l’attente d’une AMP et avoir reçu une information sur les solutions alternatives (AMP avec tiers donneur, accueil d’embryons et adoption).
Reconnais avoir été informée que la prise en charge en AMP pourrait être interrompue à tout moment pour des raisons médicales, biologiques ou réglementaires.
Reconnais avoir été informée des dispositions de la loi encadrant l’accès à l’AMP et des modalités de prise en charge par l’assurance maladie en incluant notamment la limite liée à l’âge s’appliquant également à la ré-utilisation des gamètes et embryons cryoconservés.
Reconnais avoir été informée de l’existence et du fonctionnement du dispositif d’AMP vigilance.
Reconnais avoir été informée de l’existence d’associations d’usagers spécialisés dans le domaine de l’AMP susceptibles de m'accompagner dans ma démarche.
Reconnais avoir compris l’ensemble des informations reçues, avoir pu poser les questions que je souhaitais et atteste avoir obtenu les réponses à celles-ci.
Reconnais qu'une réunion d'information mensuelle m'a été proposée pour recevoir la majorité des informations.
Atteste avoir reçu un dossier guide (Site ifmp2 : https://www.ifmp2.com/pma/) et que ce dossier comporte :
- Le rappel des dispositions législatives et réglementaires relatives à l'assistance médicale à la procréation
- Un descriptif de ces techniques
- Le rappel des dispositions législatives et réglementaires relatives à l'adoption ainsi que l'adresse des associations et organismes susceptibles de compléter leur information sur ce sujet
- Des éléments d'information sur l'accès aux données non identifiantes et à l'identité du tiers donneur par la personne majeure issue du don ainsi que la liste des associations et organismes susceptibles de compléter leur information sur ce sujet. Les membres du couple sont incités à anticiper et à créer les conditions qui leur permettront d'informer l'enfant, avant sa majorité, de ce qu'il est issu d'un don
Reconnais être informée que mes données personnelles et médicales sont enregistrées de manière informatique au sein du centre d’AMP pour le suivi de ma prise en charge et la réalisation d’études épidémiologiques.
M'engage à informer l’équipe pluri-disciplinaire de toute modification concernant ma situation familiale et mon lieu de résidence survenant au cours de notre prise en charge.
Confirme ma demande après un délai de réflexion d’un mois minimum, et certifie que les conditions requises pour bénéficier d’un acte d’AMP sont toujours remplies.
Attention 1 mois d’écart entre la date de demande plus haut et la date de confirmation
Nous :
Confirmons l'existence de notre projet parental.
Confirmons avoir demandé à bénéficier d'une Assistante Médicale à la Procréation (AMP) et reconnaissons avoir reçu une information éclairée suffisante et conforme aux recommandations.
Certifions que les conditions de couple requises, justifiées lors de notre demande, sont toujours remplies.
Nous engageons à être présents tous les deux le jour du transfert.
Nous engageons à informer l'équipe pluri-disciplinaire de toute modification concernant notre situation familiale et notre lieu de résidence survenant au cours de notre prise en charge.
Confirmons avoir pris connaissance du montant à régler mentionnant les éventuels frais non remboursés par la sécurité sociale (Devis).
Je :
Confirme l'existence de mon projet parental.
Confirme avoir demandé à bénéficier d'une Assistante Médicale à la Procréation (AMP) et reconnais avoir reçu une information éclairée suffisante et conforme aux recommandations.
M'engage à informer l'équipe pluri-disciplinaire de toute modification concernant ma situation familiale et mon lieu de résidence survenant au cours de ma prise en charge.
Confirme avoir pris connaissance du montant à régler mentionnant les éventuels frais non remboursés par la sécurité sociale (Devis).
REGISTRE NATIONAL D’ASSITANCE MEDICALE A LA PROCREATION
Vous avez décidé de recourir à une technique d’assistance médicale à la procréation (AMP) pour avoir un enfant.
En France, chaque année, environ 66 000 couples bénéficient de ces techniques et 23 500 enfants voient ainsi le
jour.
L’Agence de la biomédecine, agence nationale de l’état sous tutelle du ministère de la Santé, a été chargée par la loi d’évaluer les conséquences des activités de l’assistance médicale à la procréation sur la santé des personnes qui y ont recours et sur celle des enfants qui en sont issus. Ainsi, pour mieux comprendre les facteurs de réussite ou d’échec des fécondations in vitro et pour identifier les conséquences éventuelles des pratiques actuelles sur la santé,
des statistiques doivent être établies et des études spécifiques doivent être menées. Elles permettent d’améliorer les résultats de l’activité de fécondation in vitro dans le futur.
Pour réaliser ces études et assurer ce suivi, l’Agence de la biomédecine, avec l’autorisation de la CNIL, a mis en
place un recensement national des tentatives d’AMP. Celui-ci a pour objet d'enregistrer toutes les tentatives
d’assistance médicale à la procréation et comporte des données sur vos antécédents médicaux et chirurgicaux, le
déroulement de la ou des tentatives d’AMP, le déroulement et l’issue des grossesses et l’état de santé des enfants à la naissance. Ces informations sont celles qui sont habituellement recueillies pour votre dossier médical. N’hésitez pas à en demander le détail à votre médecin.
Pour retracer le parcours de soins suivi par une personne, d’un centre à un autre et éviter les doublons, il est
nécessaire de recueillir des données nominatives :
- vos noms patronymiques (de naissance), prénom(s) et nom marital (d’usage)
- votre date de naissance
- votre pays et code postal de résidence
- les numéros de dossier médical et biologique dans les établissements clinique et biologique où est réalisée l’AMP.
Dans la mesure où les données recueillies sont relatives à votre santé ou à celle des enfants naissant à la suite de votre recours à l’AMP, votre nom ne peut figurer dans le registre national que si vous y consentez expressément. A défaut, les données recueillies seront pseudonymisées et les noms et prénom des personnes ne seront pas recueillis.
En cas de recueil de données nominatives, conformément à la loi informatique et libertés, vous disposez d’un droit d’accès, de rectification et d’opposition qui peut s’exercer à tout moment en adressant une demande au centre dans lequel vous avez réalisé l’AMP et/ou au correspondant informatique et liberté (CIL) de l’Agence de la biomédecine : cil@biomedecine.fr.
L’Agence de la biomédecine a mis en œuvre toutes les mesures nécessaires à la protection des données et au
respect de la confidentialité. En particulier, des mesures de sécurité informatique ont été prises et seules les
personnes chargées de la gestion du fichier, du contrôle de qualité et de la sécurité des données, dûment
autorisées par le directeur général de l’Agence, pourront avoir accès aux informations nominatives, et uniquement lorsque cela s’avèrera indispensable.
Autrement dit, l’exploitation statistique des données est réalisée sur des données anonymisées et les données
nominatives ne sont en aucun cas transmises à d’autres organismes. Seules les personnes réalisant le contrôle
qualité des données et les professionnels réalisant l’AMP ont accès aux données identifiantes.
Il est possible que, dans l’avenir, vous soyez sollicité(e) pour participer à des études spécifiques complémentaires. Il vous appartiendra alors, le cas échéant, d’indiquer si vous consentez à cette participation.
Nous vous remercions par avance de contribuer ainsi à ces travaux de recherche et d’évaluation des techniques
médicales et à l’amélioration des pratiques et des résultats de cette activité.
Vous allez effectuez une tentative d’assistance médicale à la procréation dans le but de réaliser votre
projet parental. Celle-ci nécessite le recours à une insémination intra-utérine (IIU) ou une fécondation in
vitro (FIV) avec ou sans micro-injection (ICSI).
Nous vous demandons par ce consentement 2 autorisations distinctes.
Votre choix n’aura bien-sûr aucune incidence sur votre prise en charge.
1) Le centre AMP souhaite pouvoir utiliser les données clinico-biologiques anonymisées de votre prise en charge pour des études internes et publications scientifiques.
Conjoint 1 - Je déclare : *
Conjoint 2 - Je déclare : *
2) Le centre AMP souhaite pouvoir utiliser les éléments biologiques non utilisés pendant la tentative après leur anonymisation pour des travaux de recherche scientifique ou de mise au point technique (notamment
pour l’apprentissage des nouveaux opérateurs). Il s’agit des spermatozoïdes surnuméraires, des ovocytes
immatures, non fécondés ou anormalement fécondés ou encore des embryons jugés inaptes à se
développer qui sont normalement détruits. Or, ces éléments présentent un intérêt pour notre centre
dans un but de recherche scientifique et de formation.
Conjoint 1 - Je déclare : *
Conjoint 2 - Je déclare : *
Le virus HTLV 1 (Human T cell Leukemia/Lymphome Virus type 1) est responsable de plusieurs pathologies sévères, qui peuvent apparaître longtemps après la contamination. On estime à 10 à 20 millions le nombre de personnes infectées dans le monde.
Les zones géographiques concernées :
- le sud du Japon
- l’Afrique centrale (ex : Cameroun, Gabon, République démocratique du Congo, République Centre Africaine)
- les Caraïbes dont les Antilles françaises (ex : Martinique, Guadeloupe, Saint-Martin, République Dominicaine)
- l’Amérique centrale et du sud (ex : Colombie, Guyane, Brésil, Surinam)
- les Pays du Moyen-Orient (ex : Koweït, Iran, Irak, Israël)
- l’Inde
- la Papouasie Nouvelle Guinée, l’Australie, les Iles Salomon, la Mélanésie, les Seychelles
La transmission peut se faire sous trois modes :
*mère-enfant, rarement in utero, surtout par l’allaitement maternel prolongé de plus de 6 mois
*sexuel, avec transmission préférentielle dans le sens homme > femme
*par voie sanguine (transfusions sanguines, utilisation par les toxicomanes de seringues ou matériel contaminé).
Au vu de l’Arrêté du 30 juin 2017 relatif aux règles de bonnes pratiques cliniques et biologiques d’AMP, il est recommandé devant ce risque de transmission sexuelle liée à la présence du virus dans le tractus génital et la gravité de cette infection, d’exiger une prise de sang pour la recherche d’anticorps anti-HTLV1 pour les personnes vivant dans ces régions ou originaires de ces régions ou dont les partenaires sexuels ou les parents sont originaires de ces régions.
Cela ne concerne pas les patients qui ont voyagé dans ces régions.
Si le résultat de la prise de sang est négatif, la prise en charge en AMP pourra ou non se poursuivre dans notre Centre d’AMP.
Conjoint 1 - Atteste avoir pris connaissance des informations transmises par l’équipe clinico-biologique du Centre d’AMP de Parly 2 concernant les risques liés au virus HTLV1.
Conjoint 2 - Atteste avoir pris connaissance des informations transmises par l’équipe clinico-biologique du Centre d’AMP de Parly 2 concernant les risques liés au virus HTLV1
Atteste avoir pris connaissance des informations transmises par l’équipe clinico-biologique du Centre d’AMP de Parly 2 concernant les risques liés au virus HTLV1
L'infection par le virus ZIKA est transmise principalement par des moustiques, présents dans de nombreuses régions du monde. La transmission de ce virus peut également être possible par voie sexuelle.
Les sujets atteints peuvent présenter une fièvre modérée, une éruption cutanée (exanthème), une conjonctivite, des douleurs musculaires et articulaires, un état de malaise ou des céphalées. Normalement, ces symptômes disparaissent en 2 à 7 jours. Certaines personnes touchées ne développeront aucun symptôme.
L’infection maternelle par le virus Zika peut entraîner une contamination fœtale in utero. Un consensus scientifique s’est établi pour dire que ce virus est à l’origine de cas de microcéphalie et de syndrome de Guillain-Barré chez le nourrisson.
Les liens avec d’autres complications neurologiques sont en cours d’étude.
Dans ce contexte d’épidémie à virus ZIKA, l’Agence de la Biomédecine, en collaboration avec un groupe d’experts, a élaboré des recommandations pour l’AMP.
Ces recommandations s’appliquent à la prise en charge de patients vivant ou ayant voyagés dans l'un des pays listés ci-dessous. Les Antilles et la Guyane étant sortis de la phase épidémique, la prise en charge des patients est désormais la même, qu’ils résident en métropole ou en Outre-mer.
La liste des pays ou régions concernés est disponible sur le site de l'Organisation Mondiale de la Santé :
https://www.who.int/publications/m/item/zika-epidemiology-update---february-2022
La prise en charge en AMP dépend de votre exposition au virus ZIKA (né en zone Zika ou retour de voyage dans une zone Zika).
Conjoint 1 - Atteste :
- Avoir été informé(e) des modes de contamination par le virus Zika, en distinguant bien les voies vectorielle et sexuelle
- Avoir été informé(e) que l’infection maternelle par le virus Zika, présent dans certains pays, peut entrainer des cas de microcéphalie et de syndrome de Guillain-Barré chez le nourrisson, ainsi que d’autres complications neurologiques.
- Avoir été informé(e) que des embryo-foetopathies et autres complications peuvent survenir lors d'une infection par le virus Zika
- Avoir été informé(e) de la nécessité de protéger les rapports sexuels dans le mois qui précède toute tentative d'AMP et pendant toute la grossesse lorsque l'homme est ou a été infecté
- Avoir été informé(e) de la nécessité de consulter un médecin en cas d'apparition de symptômes évocateurs d'infection à virus Zika
- Avoir pris connaissance des informations transmises par l’équipe clinico-biologique du Centre d’AMP de Parly2 concernant les recommandations de prise en charge en AMP dans le contexte d’épidémie à virus Zika.
Le centre d'AMP vous recontactera très prochainement.
J'atteste être informé(e) qu'en cas de déplacement dans une zone à risque Zika, un report de la prise en charge est recommandé :
- pour l'homme, ce report est de 3 mois après le retour de la zone à risque. A l'issue de ce délai, un contrôle par test RT-PCR sur un échantillon de sperme est réalisé. En cas de nouveau résultat positif, un nouveau report de la prise en charge de 3 mois est préconisé et ce jusqu'à négativation de la RT-PCR.
-pour la femme, ce report est de 2 mois après le retour de la zone à risque.
Conjoint 2 - Atteste :
- Avoir été informé(e) des modes de contamination par le virus Zika, en distinguant bien les voies vectorielle et sexuelle
- Avoir été informé(e) que l’infection maternelle par le virus Zika, présent dans certains pays, peut entrainer des cas de microcéphalie et de syndrome de Guillain-Barré chez le nourrisson, ainsi que d’autres complications neurologiques.
- Avoir été informé(e) que des embryo-foetopathies et autres complications peuvent survenir lors d'une infection par le virus Zika
- Avoir été informé(e) de la nécessité de protéger les rapports sexuels dans le mois qui précède toute tentative d'AMP et pendant toute la grossesse lorsque l'homme est ou a été infecté
- Avoir été informé(e) de la nécessité de consulter un médecin en cas d'apparition de symptômes évocateurs d'infection à virus Zika
- Avoir pris connaissance des informations transmises par l’équipe clinico-biologique du Centre d’AMP de Parly2 concernant les recommandations de prise en charge en AMP dans le contexte d’épidémie à virus Zika.
Le centre d'AMP vous recontactera très prochainement.
J'atteste être informé(e) qu'en cas de déplacement dans une zone à risque Zika, un report de la prise en charge est recommandé :
- pour l'homme, ce report est de 3 mois après le retour de la zone à risque. A l'issue de ce délai, un contrôle par test RT-PCR sur un échantillon de sperme est réalisé. En cas de nouveau résultat positif, un nouveau report de la prise en charge de 3 mois est préconisé et ce jusqu'à négativation de la RT-PCR.
-pour la femme, ce report est de 2 mois après le retour de la zone à risque.
Atteste :
- Avoir été informée des modes de contamination par le virus Zika, en distinguant bien les voies vectorielle et sexuelle
- Avoir été informée que l’infection maternelle par le virus Zika, présent dans certains pays, peut entrainer des cas de microcéphalie et de syndrome de Guillain-Barré chez le nourrisson, ainsi que d’autres complications neurologiques.
- Avoir été informée que des embryo-foetopathies et autres complications peuvent survenir lors d'une infection par le virus Zika
- Avoir été informée de la nécessité de consulter un médecin en cas d'apparition de symptômes évocateurs d'infection à virus Zika
- Avoir pris connaissance des informations transmises par l’équipe clinico-biologique du Centre d’AMP de Parly2 concernant les recommandations de prise en charge en AMP dans le contexte d’épidémie à virus Zika.
Le centre d'AMP vous recontactera très prochainement.
J'atteste être informée qu'en cas de déplacement dans une zone à risque Zika, un report de la prise en charge est recommandé. Ce report est de 2 mois après le retour de la zone à risque.
La maladie à virus EBOLA est aussi appelée fièvre hémorragique à virus Ebola.
Le virus Ebola se transmet à l'homme à partir des animaux sauvages et se propage ensuite par transmission interhumaine, à la suite de contacts directs (peau lésée ou muqueuses) avec du sang, des sécrétions, des organes ou des liquides biologiques de personnes infectées, ou avec des surfaces et des matériaux (par exemple, linge de lit, vêtements) qui ont été contaminés par ce type de liquides. Les risques de transmission sexuelle ne sont pas bien connus à l'heure actuelle.
Le virus Ebola provoque une maladie aiguë et grave, souvent mortelle si elle n'est pas traitée pour laquelle il existe un vaccin Ervebo®. La durée d'incubation, c'est-à-dire le temps écoulé entre l'infection par le virus et l'apparition des premiers symptômes, varie de 2 à 21 jours. Tant qu'ils ne présentent pas de symptômes, les sujets humains ne sont pas contagieux. Les premiers symptômes sont une fatigue fébrile à début brutal, des douleurs musculaires, des céphalées, et un mal de gorge. Ils sont suivis de vomissements, de diarrhée, d'une éruption cutanée, de symptômes d'insuffisance rénale et hépatique et, dans certains cas, d'hémorragies internes et externes (par exemple, saignement des gencives, sang dans les selles).
On sait que le virus Ebola persiste dans les sites immunoprivilégiés des sujets qui ont guéri de la maladie à virus Ebola : testicules, intérieur de l'œil et système nerveux central. Chez les femmes ayant été infectées pendant une grossesse, le virus persiste dans le placenta, le liquide amniotique et le fœtus. Chez les femmes ayant été infectées pendant l'allaitement, le virus peut persister dans le lait maternel.
Etant donné le possible portage très prolongé du virus Ebola, des mesures particulières en AMP doivent être prises pour les patients (hommes et femmes) guéris de la maladie à virus Ebola. Si tel était le cas, le laboratoire vous contactera pour vous communiquer les mesures à prendre.
Conjoint 1 atteste avoir été informé(e) des risques liés à la maladie à virus EBOLA et déclare : *
Conjoint 2 atteste avoir été informé(e) des risques liés à la maladie à virus EBOLA et déclare : *
J'atteste avoir été informée des risques liés à la maladie à virus EBOLA et déclare : *
Plusieurs cas d'infections autochtones à Monkeypox (MKP) ont récemment été signalés dans plusieurs pays d'Europe, notamment chez les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH), des cas ont été également signalés aux Etats-Unis, au Canada, en Australie et Israël. Des cas suspects sont en cours d'investigations dans de nombreux pays. Il s'agit d'un phénomène inhabituel. Plusieurs cas ont été rapportés en France.
Après une période d'incubation pouvant aller de 5 à 21 jours, l'infection débute par de la fièvre, des maux de tête, des douleurs musculaires et une asthénie. La maladie provoque également des ganglions. Les adénopathies (cou, face...) sont volumineuses. La personne est contagieuse dès l'apparition des premiers symptômes.
Dans les 1 à 3 jours (parfois plus) suivant l'apparition de la fièvre, le patient développe une éruption cutanée, qui commence souvent sur le visage puis peut s'étendre à d'autres parties du corps, dont les paumes des mains, les plantes des pieds et les organes génitaux. Les autres muqueuses (ORL, conjonctives) peuvent également être concernées. Il convient de noter que les cas récemment détectés chez les HSH ont signalé une prépondérance de lésions dans la région génitale. L'atteinte cutanée survient en une seule poussée. Les lésions passent par différents stades successifs (macule, papule, vésicule, pustule puis croûte), et évoluent de façon uniforme. Lorsque les croûtes tombent, les personnes ne sont plus contagieuses. La maladie dure généralement de 2 à 3 semaines.
L'atteinte cutanée de l'infection par le Monkeypox se différencie de celle de la varicelle (peu fréquente chez l'adulte). Pour la varicelle, l'éruption évolue en plusieurs poussées. Les paumes de mains et les plantes de pieds sont épargnées.
La transmission du virus Monkeypox se produit lorsqu'une personne entre en contact avec un animal (rongeurs notamment), un être humain ou des matériaux contaminés par le virus. Le virus pénètre dans l'organisme par une lésion de la peau (même non visible), des voies respiratoires ou des muqueuses. La transmission de l'animal à l'homme peut se faire par morsure ou griffure, par la préparation de viande de brousse, par contact direct ou indirect avec des fluides corporels ou du matériel de lésion. Il n'y a pas habituellement d'animaux réservoirs présents en Europe.
La transmission interhumaine peut se faire par les gouttelettes respiratoires, qui ne peuvent généralement pas se déplacer à plus de quelques mètres, ce qui nécessite un contact prolongé face à face. Les autres modes de transmission interhumaine comprennent le contact cutané direct avec les liquides biologiques ou la lésion, et le contact indirect avec la lésion, par exemple par des vêtements, du linge de maison ou de la vaisselle contaminés.
Dans ce contexte, la vigilance est requise devant tout cas évocateur.
Pour l'assistance médicale à la procréation, les personnes ayant eu une infection confirmée par le Monkeypox sont ajournées 42 jours à partir de la date de début des signes cliniques et celles identifiées comme cas-contact sont ajournées 21 jours à partir de la date du dernier contact.
Les personnes contacts ayant reçu le vaccin Imvanex® sont exclus du don de produits issus du corps humains pendant une période de 4 semaines après la dernière dose. Si un sujet vacciné devenait à nouveau cas-contact, il doit faire l'objet d'un ajournement de 21 jours à partir de la date du dernier contact.
Conjoint 1 atteste avoir pris connaissance des informations transmises par l'équipe clinico-biologique du centre AMP de Parly2 concernant les risques liés au Monkeypox et déclare : *
Conjoint 2 atteste avoir pris connaissance des informations transmises par l'équipe clinico-biologique du centre AMP de Parly2 concernant les risques liés au Monkeypox et déclare : *
J'atteste avoir pris connaissance des informations transmises par l'équipe clinico-biologique du centre AMP de Parly2 concernant les risques liés au Monkeypox et déclare : *
· La veille du transfert d’embryon(s), le laboratoire vous appellera pour vous donner l’heure exacte du transfert. Si votre transfert est prévu un lundi, le laboratoire vous appellera le samedi. Le transfert peut être annulé pour des raisons cliniques ou biologiques (ex : absence de survie après décongélation).
· Le transfert aura lieu au laboratoire d’Assistance Médicale de l’hôpital privé de Parly 2 situé au 21 rue Moxouris 78150 Le Chesnay au niveau -2.
· Les 2 membres du couple doivent être présents. En cas d’impossibilité majeure, merci de vous rapprocher du secrétariat du laboratoire dès connaissance de votre indisponibilité.
· Vous devez vous munir des originaux de vos pièces d’identités comportant une photographie (Carte nationale d’identité, passeport, titre de séjour, permis de conduire) et de la carte RI Witness.
· Vous devrez boire un peu d’eau de sorte d’avoir la vessie à moitié pleine (apporter une bouteille d’eau). En cas d’envie d’uriner, ne vider que la moitié de la vessie dans la mesure du possible.
· Après le transfert, vous pourrez vous lever sans tarder et mener une vie normale sans activité sportive et reprendre votre travail, sauf contre- indication de votre médecin.
· Le test de grossesse sera effectué selon la prescription de votre médecin (12 à 15 jours après le transfert), à renouveler toutes les 72h en cas de positivité. Suivre les indications de votre médecin.
· Un compte rendu biologique vous sera envoyé dans les jours suivant la tentative.
· Certains règlements ne pourront s’effectuer que par chèque (ou espèces). Si le transfert s'effectue un dimanche, merci de prévoir un chéquier pour le règlement (secrétariat fermé).
· La veille du transfert d’embryon(s), le laboratoire vous appellera pour vous donner l’heure exacte du transfert. Si votre transfert est prévu un lundi, le laboratoire vous appellera le samedi. Le transfert peut être annulé pour des raisons cliniques ou biologiques (ex : absence de survie après décongélation).
· Le transfert aura lieu au laboratoire d’Assistance Médicale de l’hôpital privé de Parly 2 situé au 21 rue Moxouris 78150 Le Chesnay au niveau -2.
· Vous devez vous munir de l'original de votre pièce d’identité comportant une photographie (Carte nationale d’identité, passeport, titre de séjour, permis de conduire) et de la carte RI Witness.
· Vous devrez boire un peu d’eau de sorte d’avoir la vessie à moitié pleine (apporter une bouteille d’eau). En cas d’envie d’uriner, ne vider que la moitié de la vessie dans la mesure du possible.
· Après le transfert, vous pourrez vous lever sans tarder et mener une vie normale sans activité sportive et reprendre votre travail, sauf contre- indication de votre médecin.
· Le test de grossesse sera effectué selon la prescription de votre médecin (12 à 15 jours après le transfert), à renouveler toutes les 72h en cas de positivité. Suivre les indications de votre médecin.
· Un compte rendu biologique vous sera envoyé dans les jours suivant la tentative.
· Certains règlements ne pourront s’effectuer que par chèque (ou espèces). Si le transfert s'effectue un dimanche, merci de prévoir un chéquier pour le règlement (secrétariat fermé).
Nous déclarons avoir pris connaissance et remplit les documents suivants : *
Je déclare avoir pris connaissance et remplit les documents suivants : *
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Signature de Conjoint 2 *
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