Centre de Biologie Médicale
Biologie Médicale Polyvalente - Procréation Médicalement Assistée
Hôpital Privé Parly2 - 21 rue Moxouris - 78150 Le Chesnay - 01 39 54 44 51
Monsieur,
Vous allez réaliser prochainement une congélation de sperme dans notre centre d’assistance médicale à la procréation. Nous vous demandons de bien vouloir réaliser les démarches IMPERATIVEMENT 1 semaine avant votre rendez-vous.
La congélation de sperme étant réalisée dans le cadre d'une Assistance Médicale à la Procréation, la signature de votre conjointe est nécessaire Pour cela, nous vous demandons de bien vouloir prendre connaissance du document ci-dessous, de le remplir et de le signer. Un PDF sera automatiquement généré et envoyé au centre à la fin de votre saisie.
L'ENSEMBLE DE CES DOCUMENTS ONT UNE VALIDITE DE 2 MOIS.
ATTENTION : Nous avons bien conscience que votre parcours en AMP est long et fastidieux, cependant, il est soumis à la réglementation en vigueur. Aucune congélation d’AMP ne sera possible en l’absence d’un dossier complet. En cas de difficultés, vous pouvez nous joindre au 01 39 54 44 51 (puis taper 2) de 7h à 16h du lundi au vendredi et le samedi de 7h à 13h.
Demandons spontanément et d'un commun accord une Assistance Médicale à la Procréation pour notre couple :
Après avoir exposé notre projet parental et notre difficulté à concevoir, demandons à bénéficier d’une Assistance Médicale à la Procréation (AMP) nécessaire à la réalisation de notre projet parental dans le cadre de notre couple, et sommes informés qu’un consentement devra être signé avant chaque début de tentative.
Certifions sur l’honneur que les conditions de couple requises sur le plan légal pour bénéficier d’une AMP sont remplies et que nous ne sommes pas engagés matrimonialement avec une tierce personne.
Reconnaissons avoir reçu de la part du Médecin et de l’équipe biologique une information claire, précise et adaptée sur la cause de notre infertilité ainsi que sur le choix des techniques envisagées.
Reconnaissons avoir été informés des taux de réussite des techniques en termes de taux de naissance en fonction de l’âge, de leur pénibilité, ainsi que des contraintes notamment d’ordre organisationnel, financier, physique et/ou psychologique qu’elles peuvent entraîner.
Reconnaissons avoir été informés des risques potentiels à court, moyen et long terme liés à la stimulation ovarienne, au geste chirurgical et aux techniques biologiques utilisées ainsi que des risques de grossesses multiples et de complications obstétricales.
Reconnaissons avoir été informés de l’état actuel des connaissances concernant l’état de santé des enfants nés après AMP et des conséquences potentielles sur leur descendance.
Reconnaissons avoir été informés des probabilités de conception naturelle dans l’attente d’une AMP et avoir reçu une information sur les solutions alternatives (AMP avec tiers donneur, accueil d’embryons et adoption).
Reconnaissons avoir été informés que la prise en charge en AMP pourrait être interrompue à tout moment pour des raisons médicales, biologiques ou réglementaires.
Reconnaissons avoir été informés des dispositions de la loi encadrant l’accès à l’AMP et des modalités de prise en charge par l’assurance maladie en incluant notamment la limite liée à l’âge s’appliquant également à la ré-utilisation des gamètes et embryons cryoconservés.
Reconnaissons avoir été informés de l’existence et du fonctionnement du dispositif d’AMP vigilance.
Reconnaissons avoir été informés de l’existence d’associations d’usagers spécialisés dans le domaine de l’AMP susceptibles de nous accompagner dans notre démarche.
Reconnaissons avoir compris l’ensemble des informations reçues, avoir pu poser les questions que nous souhaitions et attestons avoir obtenu les réponses à celles-ci.
Reconnaissons qu'une réunion d'information mensuelle nous a été proposée pour recevoir la majorité des informations.
Attestons avoir reçu un dossier guide (Site ifmp2 : https://www.ifmp2.com/pma/)
Reconnaissons être informés que nos données personnelles et médicales sont enregistrées de manière informatique au sein du centre d’AMP pour le suivi de notre prise en charge et la réalisation d’études épidémiologiques.
Nous engageons à informer l’équipe pluri-disciplinaire de toute modification concernant notre situation familiale et notre lieu de résidence survenant au cours de notre prise en charge.
Confirmons notre demande après un délai de réflexion d’un mois minimum, et certifions que les conditions de couple requises pour bénéficier d’un acte d’AMP sont toujours remplies.
Attention 1 mois d’écart entre la date de demande plus haut et la date de confirmation
Je soussigné, Monsieur,
Après avoir pris connaissance des éléments ci-dessous :
Confirme l’existence de mon projet parental.
Confirme avoir demandé à bénéficier d'une Assistante Médicale à la Procréation (AMP) dans le cadre de mon projet parental et reconnait avoir reçu une information éclairée suffisante et conforme aux recommandations.
Certifie que les conditions de couple requises, justifiées lors de ma demande, sont toujours remplies.
Certifie avoir été informé des éléments ci-dessous :
- La conservation de spermatozoïdes est strictement personnelle et réalisée en vue d’une éventuelle réalisation, à mon bénéfice, d’une assistance médicale à la procréation (AMP). Cette autoconservation ne garantit pas le succès de l’AMP.
- La conservation des paillettes de sperme est renouvelable tous les ans. A partir de la deuxième année de conservation, et tous les ans si toutes les paillettes de sperme n’ont pas été utilisées, vous serez interrogé par écrit afin de nous faire connaître votre souhait quant au devenir de vos paillettes restantes : poursuite de la conservation, arrêt de la conservation, don pour la recherche ou don à un tiers. En cas de poursuite de la conservation de vos paillettes, les frais de stockage pour l’année à venir devront être réglés au préalable. Dans certaines situations, votre souhait d’orienter vos paillettes vers le don n’est pas envisageable au regard des critères retenus pour la qualification des donneurs de gamètes. Vous serez alors informé et invité à faire un autre choix.
- En cas de non-réponse aux courriers de relance adressés par le centre AMP, celui-ci pourra mettre fin à la conservation des paillettes de sperme si la durée de celles-ci est au moins égale à 10 ans.
- L’utilisation des paillettes de sperme est possible jusqu’au 45ème anniversaire de la personne destinée à porter la grossesse et jusqu’au 60ème anniversaire de son/sa conjointe.
- Dans un but d’utilisation, les paillettes de sperme ne pourront être restituées qu’en votre présence et avec votre consentement, ou votre conjointe dûment mandatée.
Autorise la congélation et la conservation de mes spermatozoïdes.
Certifie avoir été informé de la faculté de pouvoir révoquer notre consentement avant toute intervention.
M’engage à informer l'équipe pluridisciplinaire de toute modification concernant ma situation familiale et mon lieu de résidence survenant au cours de notre prise en charge.
Certifie avoir été informé de la nécessité de répondre aux relances annuelles qui me seront adressées par le centre qui conserve les gamètes et de signaler sans retard tout changement de situation ou d'adresse.
REGISTRE NATIONAL D’ASSITANCE MEDICALE A LA PROCREATION
Madame, Monsieur,
Vous avez décidé de recourir à une technique d’assistance médicale à la procréation (AMP) pour avoir un enfant.
En France, chaque année, environ 66 000 couples bénéficient de ces techniques et 23 500 enfants voient ainsi le jour.
L’Agence de la biomédecine1 est une agence nationale de l’Etat, sous tutelle du ministre chargé de la santé, créée par les lois de bioéthique. Elle exerce ses missions dans les domaines du prélèvement et de la greffe d’organes, de tissus et de cellules, ainsi que dans les domaines de la procréation, de l’embryologie et de la génétique humaine. L’Agence de la Biomédecine, en qualité de responsable du traitement des données à caractère personnel pour les activités relevant de son champ de compétence, est consciente que la protection des données à caractère personnel est au cœur de vos préoccupations. Ce document d’information relatif à la protection des données à caractère personnel décrit les catégories de données à caractère personnel que nous recueillons dans le cadre de nos missions, la manière dont nous pouvons les utiliser, les personnes ou organismes auxquels nous pouvons les communiquer et les choix disponibles concernant notre utilisation de ces données. Il décrit également les mesures que nous prenons pour protéger les données à caractère personnel que nous recueillons, la durée pendant laquelle nous les conservons et la manière dont les personnes peuvent nous contacter afin de connaitre nos pratiques en matière de protection des données et exercer leurs droits.
Pourquoi réalisons-nous ce traitement de données personnelles ?
L’Agence de la biomédecine a été chargée par la loi d’évaluer les conséquences des activités de l’assistance médicale à la procréation sur la santé des personnes qui y ont recours et sur celle des enfants qui en sont issus. Ainsi, pour mieux comprendre les facteurs de réussite ou d’échec des fécondations in vitro et pour identifier les conséquences éventuelles des pratiques actuelles sur la santé, des analyses de données doivent être établies et des études spécifiques doivent être menées. Elles permettent d’améliorer les résultats de l’activité de fécondation in vitro dans le futur.
Pour réaliser ces études et assurer ce suivi, l’Agence de la biomédecine, en sa qualité de responsable de traitement de données à caractère personnel, avec l’autorisation de la CNIL2, a mis en place un recensement national des tentatives d’AMP. Celui-ci a pour objet d'enregistrer toutes les tentatives d’assistance médicale à la procréation et comporte des données sur vos antécédents médicaux et chirurgicaux, le déroulement de la ou des tentatives d’AMP, le déroulement et l’issue des grossesses et l’état de santé des enfants à la naissance. Ces informations sont celles qui sont habituellement recueillies pour votre dossier médical.
N’hésitez pas à en demander le détail à votre médecin.
Ce traitement des données est nécessaire au respect d’une obligation légale à laquelle l’Agence de la biomédecine est soumise (article 6.1.c du règlement général sur la protection des données et article L. 1418-1 du code de la santé publique).
Les informations collectées par le médecin qui assure votre prise en charge (données d’identification, données de santé, coordonnées de l’établissement assurant votre prise en charge) et transmises à l’Agence peuvent le cas échéant être rapprochées des données recueillies par les caisses d’assurance maladie et vieillesse et des registres de santé (données issues du Système national des données de santé (SNDS), avec l’autorisation de la CNIL.
La loi de bioéthique du 6 août 2004 a par ailleurs confié à l’Agence de la biomédecine la mise en œuvre d’un dispositif de vigilance dans le domaine des activités cliniques et biologiques de l’assistance médicale à la procréation (AMP), appelé AMP vigilance (article L. 1418-1 du code de la santé publique). L’AMP vigilance a pour objet la surveillance des incidents relatifs aux gamètes, aux tissus germinaux et aux embryons utilisés à des fins d’AMP ou à des fins de préservation de la fertilité, ainsi que des effets indésirables observés chez les donneurs de gamètes, chez les personnes qui ont recours à l’AMP et chez les personnes qui en sont issues. Ce système comporte un échelon local, représenté dans les centres d’AMP par le correspondant local d’AMP vigilance et l’échelon national, l’Agence de la biomédecine. Les informations relatives aux personnes exposées à un incident ou aux conséquences d’un effet indésirable sont recueillies sous une forme indirectement identifiante dans l’application de gestion AMPVigie. Le traitement de données personnelles mis en œuvre dans ce cadre, dans les conditions strictement définies par les dispositions du code de la santé publique, n’a pas vocation à colliger des informations sur toutes les personnes prises en charge dans le cadre d’une assistance médicale à la procréation ou qui en sont issues. Les informations recueillies concernent uniquement ces personnes lorsqu’une déclaration de vigilance est rédigée par un correspondant appartenant à un établissement de santé concernés par ces activités d’AMP. Ces déclarations ne sont réalisées que dans le cadre prévu par les dispositions législatives et réglementaires fixées par le code de la santé publique et ont comme objectif d’améliorer les pratiques et les résultats de cette activité.
Nous pouvons en outre être amenés à communiquer vos données (1) si la loi ou une procédure judiciaire (comme une décision de justice ou une ordonnance de production de pièces) nous y oblige ; (2) pour répondre à une demande d’une autorité publique, telle qu’une autorité chargée de veiller au respect de la loi ; (3) pour établir, exercer ou défendre nos droits ; (4) si nous jugeons que cette communication est nécessaire ou utile à la prévention de tout dommage notamment physique ou de toute perte financière ; (5) dans le cadre de toute enquête liée à une activité illégale présumée ou avérée ; (6) ou avec votre consentement.
Certaines données, sous une forme anonymisée, peuvent enfin être transmises à des équipes dans le cadre de travaux de recherche dans le domaine du prélèvement ou de la greffe d’organes ou de tissus.
Quelles sont les données recueillies ?
Pour retracer le parcours de soins suivi par une personne, d’un centre à un autre et éviter les doublons, il est nécessaire de recueillir des données nominatives :
• Vos nom patronymique (de naissance), prénom(s) et nom marital (d’usage)
• Votre date de naissance
• Votre pays et code postal de résidence
• Les numéros de dossier médical et biologique dans les établissements cliniques et biologiques où sont réalisées l’AMP.
Dans la mesure où les données recueillies sont relatives à votre santé ou à celle des enfants qui vont naitre à la suite de votre recours à l’AMP, votre nom ne peut figurer dans le registre national que si vous y consentez expressément. A défaut, les données recueillies seront pseudonymisées et les noms et prénom des personnes ne seront pas recueillis. Ces informations sont conservées pendant une durée de 70 ans.
Qui aura accès à ces données ?
Nous veillons strictement à ce que les données recueillies ne soient jamais détournées ou utilisées à d’autres finalités.
L’Agence de la biomédecine a mis en œuvre toutes les mesures nécessaires à la protection des données et au respect de la confidentialité. En particulier, des mesures de sécurité informatique ont été prises et seules les personnes chargées de la gestion du fichier, du contrôle de qualité et de la sécurité des données, dûment autorisées par le directeur général de l’Agence, pourront avoir accès aux informations nominatives, et uniquement lorsque cela s’avèrera indispensable.
Autrement dit, l’exploitation statistique des données est réalisée sur des données anonymisées et les données nominatives ne sont en aucun cas transmises à d’autres organismes. Seules les personnes réalisant le contrôle qualité des données et les professionnels réalisant l’AMP ont accès aux données identifiantes.
Il est possible que, dans l’avenir, vous soyez sollicité(e) pour participer à des études spécifiques complémentaires. Il vous appartiendra alors, le cas échéant, d’indiquer si vous consentez à cette participation.
Nous vous remercions par avance de contribuer ainsi à ces travaux de recherche et d’évaluation des techniques médicales et à l’amélioration des pratiques et des résultats de cette activité.
Quels sont mes droits sur ces données ?
Toute personne peut obtenir communication des informations la concernant, conformément aux dispositions de la loi du 6 janvier 1978 modifiée et au règlement européen du 27 avril 2016 sur la protection des données personnelles.
Vous disposez ainsi pendant toute la durée du traitement d’un droit d’accès, de rectification et d’opposition sur leurs données personnelles. Vous disposez également d’un droit à l’effacement de ces données, au retrait de votre consentement au recueil de ces données et d’un droit d’introduire une réclamation auprès d’une autorité de contrôle (CNIL).
Ces droits peuvent être exercés à tout moment en adressant une demande au centre dans lequel vous avez réalisé l’AMP ou au Délégué à la protection des données (DPO) de l’Agence de la biomédecine (Direction juridique de l’Agence de la biomédecine / 1 avenue du Stade de France, 93212 SAINT DENIS LA PLAINE Cedex ou dpo@biomedecine.fr) en y joignant la copie d’un justificatif d’identité comportant votre signature. A défaut de réponse dans le délai d’un mois, il vous sera possible de saisir les services de la CNIL.
Votre médecin se tient à votre disposition pour vous communiquer toute information complémentaire que vous jugerez utile.
Comment nous protégeons les données à caractère personnel
Nous mettons en place et maintenons des garanties administratives, techniques et physiques visant à protéger les données à caractère personnel que nous recueillons contre toute destruction, perte, altération, divulgation ou utilisation accidentelle, illégale ou non autorisée, ou tout accès non autorisé à ces données.
L’Agence de la Biomédecine prend toutes les précautions utiles, au regard de la nature des données et des risques présentés par le traitement, pour préserver la sécurité des données et, notamment, empêcher qu’elles soient déformées, endommagées, ou que des tiers non autorisés y aient accès. Les mécanismes en place de sécurité des données personnelles sont alignés avec les standards définis dans la politique de sécurité des systèmes d‘information de l’agence et de l’Etat
Monsieur,
Vous allez effectuer une tentative d’assistance médicale à la procréation dans le but de réaliser votre
projet parental. Celle-ci nécessite le recours à une insémination intra-utérine (IIU) ou une fécondation in
vitro (FIV) avec ou sans micro-injection (ICSI).
Nous vous demandons par ce consentement 2 autorisations distinctes.
Votre choix n’aura bien-sûr aucune incidence sur votre prise en charge.
1) Le centre AMP souhaite pouvoir utiliser les données clinico-biologiques anonymisées de votre prise en charge pour des études internes et publications scientifiques.
Monsieur - Je déclare : *
2) Le centre AMP souhaite pouvoir utiliser les éléments biologiques non utilisés pendant la tentative après leur anonymisation pour des travaux de recherche scientifique ou de mise au point technique (notamment
pour l’apprentissage des nouveaux opérateurs). Il s’agit des spermatozoïdes surnuméraires, des ovocytes
immatures, non fécondés ou anormalement fécondés ou encore des embryons jugés inaptes à se
développer qui sont normalement détruits. Or, ces éléments présentent un intérêt pour notre centre
dans un but de recherche scientifique et de formation.
Monsieur - Je déclare : *
La maladie à virus ZIKA est transmise principalement par des moustiques, présents dans de nombreuses régions du monde. La transmission de ce virus peut également être possible par voie sexuelle.
Les sujets atteints peuvent présenter une fièvre modérée, une éruption cutanée (exanthème), une conjonctivite, des douleurs musculaires et articulaires, un état de malaise ou des céphalées. Normalement, ces symptômes disparaissent en 2 à 7 jours. Certaines personnes touchées ne développeront aucun symptôme.
L’infection maternelle par le virus Zika peut entraîner une contamination fœtale in utero. Un consensus scientifique s’est établi pour dire que ce virus est à l’origine de cas de microcéphalie et de syndrome de Guillain-Barré chez le nourrisson.
Les liens avec d’autres complications neurologiques sont en cours d’étude.
Dans ce contexte d’épidémie à virus ZIKA, l’Agence de la Biomédecine, en collaboration avec un groupe d’experts, a élaboré des recommandations pour l’AMP.
Ces recommandations s’appliquent à la prise en charge de patients vivant ou ayant voyagés dans l'un des pays listés ci-dessous. Les Antilles et la Guyane étant sortis de la phase épidémique, la prise en charge des patients est désormais la même, qu’ils résident en métropole ou en Outre-mer.
La liste des pays ou régions concernés est disponible sur le site de l'Organisation Mondiale de la Santé :
https://www.who.int/publications/m/item/zika-epidemiology-update---february-2022
La prise en charge en AMP dépend de votre exposition au virus Zika (né en zone Zika ou retour de voyage dans un zone Zika).
Monsieur - Atteste :
- Avoir été informé des modes de contamination par le virus Zika, en distinguant bien les voies vectorielle et sexuelle
- Avoir été informé que l’infection maternelle par le virus Zika, présent dans certains pays, peut entrainer des cas de microcéphalie et de syndrome de Guillain-Barré chez le nourrisson, ainsi que d’autres complications neurologiques.
- Avoir été informé que des embryo-foetopathies et autres complications peuvent survenir lors d'une infection par le virus Zika
- Avoir été informé de la nécessité de protéger les rapports sexuels dans le mois qui précède toute tentative d'AMP et pendant toute la grossesse lorsque l'homme est ou a été infecté
- Avoir été informé de la nécessité de consulter un médecin en cas d'apparition de symptômes évocateurs d'infection à virus Zika
- Avoir pris connaissance des informations transmises par l’équipe clinico-biologique du Centre d’AMP de Parly2 concernant les recommandations de prise en charge en AMP dans le contexte d’épidémie à virus Zika.
Le centre d'AMP vous recontactera très prochainement.
J'atteste être informé qu'en cas de déplacement dans une zone à risque Zika, un report de la prise en charge est recommandé.
Ce report est de 3 mois après le retour de la zone à risque.
A l'issue de ce délai, un contrôle par test RT-PCR sur un échantillon de sperme est réalisé. En cas de nouveau résultat positif, un nouveau report de la prise en charge de 3 mois est préconisé et ce jusqu'à négativation de la RT-PCR.
La maladie à virus EBOLA est aussi appelée fièvre hémorragique à virus Ebola.
Le virus Ebola se transmet à l'homme à partir des animaux sauvages et se propage ensuite par transmission interhumaine, à la suite de contacts directs (peau lésée ou muqueuses) avec du sang, des sécrétions, des organes ou des liquides biologiques de personnes infectées, ou avec des surfaces et des matériaux (par exemple, linge de lit, vêtements) qui ont été contaminés par ce type de liquides. Les risques de transmission sexuelle ne sont pas bien connus à l'heure actuelle.
Le virus Ebola provoque une maladie aiguë et grave, souvent mortelle si elle n'est pas traitée pour laquelle il existe un vaccin Ervebo®. La durée d'incubation, c'est-à-dire le temps écoulé entre l'infection par le virus et l'apparition des premiers symptômes, varie de 2 à 21 jours. Tant qu'ils ne présentent pas de symptômes, les sujets humains ne sont pas contagieux. Les premiers symptômes sont une fatigue fébrile à début brutal, des douleurs musculaires, des céphalées, et un mal de gorge. Ils sont suivis de vomissements, de diarrhée, d'une éruption cutanée, de symptômes d'insuffisance rénale et hépatique et, dans certains cas, d'hémorragies internes et externes (par exemple, saignement des gencives, sang dans les selles).
On sait que le virus Ebola persiste dans les sites immunoprivilégiés des sujets qui ont guéri de la maladie à virus Ebola : testicules, intérieur de l'œil et système nerveux central. Chez les femmes ayant été infectées pendant une grossesse, le virus persiste dans le placenta, le liquide amniotique et le fœtus. Chez les femmes ayant été infectées pendant l'allaitement, le virus peut persister dans le lait maternel.
Etant donné le possible portage très prolongé du virus Ebola, des mesures particulières en AMP doivent être prises pour les patients (hommes et femmes) guéris de la maladie à virus Ebola. Si tel était le cas, le laboratoire vous contactera pour vous communiquer les mesures à prendre.
Monsieur atteste avoir été informé des risques liés à la maladie à virus EBOLA et déclare : *
Plusieurs cas d'infections autochtones à Monkeypox (MKP) ont récemment été signalés dans plusieurs pays d'Europe, notamment chez les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH), des cas ont été également signalés aux Etats-Unis, au Canada, en Australie et Israël. Des cas suspects sont en cours d'investigations dans de nombreux pays. Il s'agit d'un phénomène inhabituel. Plusieurs cas ont été rapportés en France.
Après une période d'incubation pouvant aller de 5 à 21 jours, l'infection débute par de la fièvre, des maux de tête, des douleurs musculaires et une asthénie. La maladie provoque également des ganglions. Les adénopathies (cou, face...) sont volumineuses. La personne est contagieuse dès l'apparition des premiers symptômes.
Dans les 1 à 3 jours (parfois plus) suivant l'apparition de la fièvre, le patient développe une éruption cutanée, qui commence souvent sur le visage puis peut s'étendre à d'autres parties du corps, dont les paumes des mains, les plantes des pieds et les organes génitaux. Les autres muqueuses (ORL, conjonctives) peuvent également être concernées. Il convient de noter que les cas récemment détectés chez les HSH ont signalé une prépondérance de lésions dans la région génitale. L'atteinte cutanée survient en une seule poussée. Les lésions passent par différents stades successifs (macule, papule, vésicule, pustule puis croûte), et évoluent de façon uniforme. Lorsque les croûtes tombent, les personnes ne sont plus contagieuses. La maladie dure généralement de 2 à 3 semaines.
L'atteinte cutanée de l'infection par le Monkeypox se différencie de celle de la varicelle (peu fréquente chez l'adulte). Pour la varicelle, l'éruption évolue en plusieurs poussées. Les paumes de mains et les plantes de pieds sont épargnées.
La transmission du virus Monkeypox se produit lorsqu'une personne entre en contact avec un animal (rongeurs notamment), un être humain ou des matériaux contaminés par le virus. Le virus pénètre dans l'organisme par une lésion de la peau (même non visible), des voies respiratoires ou des muqueuses. La transmission de l'animal à l'homme peut se faire par morsure ou griffure, par la préparation de viande de brousse, par contact direct ou indirect avec des fluides corporels ou du matériel de lésion. Il n'y a pas habituellement d'animaux réservoirs présents en Europe.
La transmission interhumaine peut se faire par les gouttelettes respiratoires, qui ne peuvent généralement pas se déplacer à plus de quelques mètres, ce qui nécessite un contact prolongé face à face. Les autres modes de transmission interhumaine comprennent le contact cutané direct avec les liquides biologiques ou la lésion, et le contact indirect avec la lésion, par exemple par des vêtements, du linge de maison ou de la vaisselle contaminés.
Dans ce contexte, la vigilance est requise devant tout cas évocateur.
Pour l'assistance médicale à la procréation, les personnes ayant eu une infection confirmée par le Monkeypox sont ajournées 42 jours à partir de la date de début des signes cliniques et celles identifiées comme cas-contact sont ajournées 21 jours à partir de la date du dernier contact.
Les personnes contacts ayant reçu le vaccin Imvanex® sont exclus du don de produits issus du corps humains pendant une période de 4 semaines après la dernière dose. Si un sujet vacciné devenait à nouveau cas-contact, il doit faire l'objet d'un ajournement de 21 jours à partir de la date du dernier contact.
Monsieur atteste avoir pris connaissance des informations transmises par l'équipe clinico-biologique du centre AMP de Parly2 concernant les risques liés au Monkeypox et déclare : *
· La congélation de sperme aura lieu au laboratoire d’Assistance Médicale de l’hôpital privé de Parly 2 situé au 21 rue Moxouris 78150 Le Chesnay au niveau -2.
· Vous devrez respecter un délai d’abstinence de 2 à 7 jours, sauf si indication particulière de votre médecin.
· Vous devrez vous munir de l’original de votre pièce d’identité comportant une photographie (Carte nationale d’identité, passeport, titre de séjour, permis de conduire).
· Deux recueils peuvent vous être demandés selon les paramètres spermatiques.
· En cas de difficultés de recueil, un rendez-vous avec votre conjointe peut vous être proposé avec utilisation d’un préservatif (15 euros à régler sur place).
· Un compte rendu biologique vous sera envoyé dans les jours suivants la congélation vous indiquant le nombre de paillettes congelées.
Nous déclarons avoir pris connaissance et remplit les documents suivants : *
Signature de Madame *
clear
Signature de Monsieur *
clear
Attestation de sécurité sociale : *
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